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21 février 2012 2 21 /02 /février /2012 22:00
          Ayant eu des problèmes informatique (panne du portable), le blog a un peu de retard...
 
          Donc, après le doublage, nous avons commencé le week-end 4 et 5 février la pose des plaques de Fermacell au plafond.
 
          En ce qui concerne la pose, vu le poids d'une plaque de Fermacell, il vaut mieux avoir un lève-plaque de compète...encore une fois, merci à notre voisin, qui ayant construit sa maison de ses propre mains, a beaucoup de matériel, et nous le prête généreusement.
 
          2012-02-04 15.50.22
 
           2012-02-04 15.50.32
 
          2012-02-05 09.26.41
 
 
          La pose est longue, car il faut coller toutes les plaques entre elles (sinon c'est la fissure assurée après séchage de l'enduit de finition), il faut percer les réservations pour l'éclairage (voir photos , dossier éclairage), la VMC et le passage des gaines dans les cloisons, mettre les DCL (Dispositifs de Connections de Luminaire), déplacer tout ce qu'il y a au sol (plaques de Fermacell des cloisons, laine de bois, etc …), beaucoup de manutention...
 
           Quelques photos du week-end 4 et 5:
 
 
 
           2012-02-04 11.34.47
           2012-02-04 14.07.35
           2012-02-05 12.43.41
          
           2012-02-04 13.07.13
           2012-02-04 13.07.21
 
 
           De la neige en GIRONDE !!! 
 
 
           Noaillac sous la neige :
 
           2012-02-05 10.18.01
 
           2012-02-05 10.18.12
 
           2012-02-05 10.18.36
 
           2012-02-05 10.19.37
 
 
 
 
 
           Quelques photos du week-end 11 et 12:
 
           2012-02-05 16.36.57
          2012-02-05 16.37.15
           2012-02-05 16.37.24
           2012-02-05 16.37.40
 
 
 
 
          Quelques photos du week-end 18 et 19:
 
          2012-02-18 16.33.30
          2012-02-19 10.50.28
          2012-02-19 10.50.41
           2012-02-19 17.13.41
          2012-02-20 09.50.17
           2012-02-20 15.46.46
 
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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 23:28

          Voilà, c'est reparti pour un week-end, bien chargé. Dimanche dernier, nous sommes partie du chantier, en oubliant "de gratter" quelques joints.... Nous pensions que cela aller être dur à enlever (ciseau à bois, marteau, burin, marteaux-piqueur...) Il n'en fut rien, un simple cutter suffit. Sachant cela, nous avons privilégié la pose des plaques, nous "gratterons" le week-end prochain, ce qui fait que nous avons fini le doublage...

Pas beaucoup de photos...

 

 

            

          2012-01-28 13.05.51 

            2012-01-29 11.25.57

 

          2012-01-29 11.25.30

 

 

 

 

 

          2012-01-29 11.55.38

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23 janvier 2012 1 23 /01 /janvier /2012 20:15

 

Nous commençons un nouveau métier, plaquiste.

Je vous conseille d'acheter un petit levier qui permettra de soulever légèrement la plaque pour faciliter l'ajustement bord à bord avec l'autre plaque déjà posée. Si possible un modèle qui se cale pour éviter d'avoir à le maintenir avec le pied. Ce n'est pas cher et ça se trouve dans les grandes surfaces de bricolage, moi c'est le voisin qui me l'a prêté.

 

Voici quelques photos, ce fut un week-end bien chargé encore une fois.

 

 

 

          062

 

           2012-01-08 10.18.35

 

           

 

2012-01-08 10.19.04

 

          2012-01-08 12.58.47 

          

 

 

          Les fenêtres sont délicates à entourer avec les plaques.

 

 

          066

 

 

            2012-01-21 11.11.35

 

            2012-01-21 14.31.51

 

 

           2012-01-21 14.32.09

 

            2012-01-21 15.31.51

 

          2012-01-21 18.46.14

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 00:00

         Après plusieurs semaines de repos....( pas pour l'estomac...) nous reprenons le chantier à Noaillac.

         Isolation et étanchéité à l'air terminés, gaines électriques passées, place aux doublages  et aux plafonds en Fermacell.

 

          Le Fermacell se présente sous la forme de plaques de 12,5 mm (existe aussi en 10 et 18 mm). Il s'agit d'un produit relativement écologique puisqu'il est composé d'un mélange de papier recyclé, de gypse et d'eau. Le tout est comprimé à très forte pression, il n'y a pas de liant chimique. Nous avons choisi le Fermacell en doublage pour plusieurs raisons :

  • Résistance mécanique importante, solidité : participe à la rigidité de la maison et peut être utilisé en contreventement

  • Résistance au feu : classement M0, incombustible

  • Résistance à l'humidité : utilisable dans les salles de bain

  • Durabilité grâce aux 3 points ci-dessus

  • Isolation phonique

  • Apport d'inertie grâce à la grande densité/masse du produit

  • Fixation sur bois directement, ce qui n'est pas possible avec du Placo

  • Pas de bandes à faire, application de joint spécial à la place : gain de temps et solidarité des plaques qui sont collées entre elles bord à bord

  • Perspirance : laisse passer la vapeur d'eau, ce qui est important pour nos murs qui sont conçu pour réguler naturellement l'humidité

  • Produit relativement écologique

Le Fermacell possède toutefois plusieurs inconvénients :

  • Prix élevé : 2 à 3 fois plus chère que du Placo de base

  • Découpe à la scie circulaire ou au minimum à la scie égoïne pour les gros bras. Ça fait de la poussière ! On peut tenter avec un bon cutter pour sectionner la plaque mais la coupe est moins propre qu'à la scie

  • Masse importante, il faut être 2 ou alors vraiment très costaud ! Chaque plaque de 1200 x 2600 mm fait près de 50 Kg !

 

          Voici pour la théorie...

          J'en profite pour faire un peu de pub ( gratuit) pour écolodève, un site sur internet, avec des personnes vraiment compétentes, fiables et réactives, qui nous ont donné entière satisfaction, quant aux matériaux commandés chez eux.

           Petite anecdote, lors d'un mauvais calcul de notre part, nous avons téléphoné à cette société, qui à immédiatement corrigé cette érreur par un envoi rapide de ce qui nous faisait défaut, avant même d'avoir reçus le paiement. Merci à eux, qui sans cela, aurait bloqué le chantier... ( vraiment trop rare de nos jours)

www.ecolodeve.fr

 

Prochainement, quelques photos du chantier...

 

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1 janvier 2012 7 01 /01 /janvier /2012 00:00
Nous vous souhaitons meilleurs vœux pour l'année 2012. Qu'elle soit porteuse d'espoir, de douceur et de bonheur.
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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 00:00
          Une étude récente révèle que plus de la moitié des logements construits avant 1974 ne dispose pas d’une installation électrique qui réponde aux règles élémentaires de sécurité. Cela représente plus de 7 millions de logements sur les 28 millions dénombrés en France. De plus, 300 000 installations s’additionnent à ce chiffre chaque année puisque l’on estime qu’une installation sans entretien devient dangereuse au bout de 30 ans. Chaque année on déplore plusieurs milliers d’accidents corporels dont 80 sont mortels et plus de 80 000 incendies d’origine électrique. On estime que 20 millions de nos concitoyens sont en danger potentiel. Dans l’habitat existant, les raisons de ces accidents sont multiples.
 Parmi elles citons :
- l’absence ou la défectuosité du réseau de terre,
- l’absence de protection contre les contacts indirects,
- l’usure du temps,
- les surcharges des circuits, des pièces accessibles d’appareillage sous tension …
  
           Pour les installations neuves, l’arrêté du 22 octobre 1969 précise que les dispositions des normes NF C 15-100 et NF C 14-100 doivent être respectées. Les installations existantes doivent également répondre à des règles techniques qui permettent d’assurer la sécurité des personnes et des biens lorsqu’il s’agit de rénovation.
 

 

  1. Section des conducteurs, protection contre les surintensités, équipement minimum

     ■ Les sections minimales imposées des conducteurs sont déterminées en fonction des puissances installées et tiennent compte de la limitation des points d’utilisation alimentés par chaque circuit terminal.

     ■ Une installation doit pouvoir présenter un nombre suffisant de point d’utilisation pour assurer les besoins normaux des usagers.

    ■ Tout circuit doit être protégé par un dispositif de protection qui est soit un fusible ou un disjoncteur et dont le courant assigné maximal est égal à la valeur indiquée .

     ■ Décompte des socles de prise de courant.

    Le nombre de socles alimentés par un même circuit est limité à cinq (fusible)ou huit (disjoncteur).

     ■ Décompte des points d’éclairage.

    Le nombre de points d’éclairage alimentés par un même circuit est limité à huit. Dans le cas de spots ou bandeaux lumineux, on compte un point d’éclairage par tranche de 300 VA.

     

  2. Protection contre les contacts indirects

     ■ La protection contre les contacts indirects est assurée par des liaisons de protection (liaison équipotentielle principale et mise à la terre des masses) associées à la coupure automatique de l’alimentation. En France, les installations alimentées par un réseau de distribution publique sont réalisées selon le schéma TT.

    En schéma TT, les dispositifs de protection sont des dispositifs différentiels.

     ■ La résistance de la prise de terre RA à laquelle sont reliées les masses métalliques d’une installation doit être au plus égale à 100 Ω.

    Détermination de la valeur de la prise de terre des masses : RA ≤ UL/IΔn

    - UL : tension limite conventionnelle de contact ou tension limite de sécurité (50 V)

    - IΔn : sensibilité nominale du dispositif différentiel placé à l’origine de l’installation

    ⇒ RA ≤ 50 = 100 Ω/0,5

     ■ Lorsque le disjoncteur de branchement placé à l’origine de l’installation comporte la fonction différentielle moyenne sensibilité, cette protection est de type et de courant différentiel-résiduel au plus égal à 500 mA

     ■ Lorsque le disjoncteur de branchement placé à l’origine de l’installation ne comporte pas cette fonction, des DDR 30 mA doivent protéger tous les circuits individuellement ou par groupe de circuit, et le tableau d’abonné doit être de classe II.

     ■ Tous les circuits doivent comporter un conducteur de protection. Pour les matériels fixes de classe II, le conducteur de protection ne doit pas être raccordé.

     

  3. Coupure d'urgence

     ■ Le dispositif général de commande et de protection prévu à l’origine de l’installation (disjoncteur de branchement) peut assurer les fonctions de coupure d’urgence s’il est situé à l’intérieur des locaux d’habitation. S’il est situé dans un garage ou un local annexe, il doit exister un accès direct entre ce local et le logement. Dans le cas contraire, un autre dispositif à action directe assurant les fonctions de coupure en charge et de sectionnement doit être placé à l’intérieur du logement (interrupteur ou disjoncteur par exemple).

     ■ L’organe de manœuvre du dispositif de coupure d’urgence doit être situé à une hauteur comprise entre 1,00 m et 1,80 m du sol fini. Cette hauteur est limitée à 1,30 m dans les locaux pour handicapés et personnes âgées.

     

  4. Sectionnement

     ■ A l’origine de l’installation, il doit être placé un dispositif de sectionnement coupant tous les conducteurs actifs (assuré par le disjoncteur de branchement).

    ■ Tout circuit doit posséder à son origine un dispositif de sectionnement sur tous les conducteurs actifs, y compris le conducteur neutre. Les coupe-circuits, ainsi que les disjoncteurs divisionnaires portant la marque NF remplissent la fonction de sectionnement.

    ■ Dans le cas de chauffage avec fil pilote, le sectionnement du fil pilote doit être prévu. Le sectionnement est réalisé à l’origine de chacun des circuits de chauffage par un dispositif de sectionnement associé au dispositif de protection.

    Cependant, il est admis de prévoir un sectionnement :

    - général associé à un interrupteur général chauffage

    - indépendant

    - par le disjoncteur 2 A dédié au gestionnaire

     sectionner

  5. Protection complémentaire contre les contacts directs

     ■ L’emploi de DDR, dont la valeur du courant différentiel nominal de fonctionnement est inférieure ou égale à 30 mA, est reconnu comme mesure de protection complémentaire en cas de défaillance de la mesure de protection contre les contacts directs (usure ou détérioration des câbles souples alimentant des récepteurs mobiles) ou en cas d’imprudence des usagers.

     ■ Tous les circuits de l’installation doivent être protégés par des DDR assignés au plus égal à 30 mA dont le nombre, le type et le courant assigné sont donnés dans le tableau ci-dessous.

    Ces dispositifs doivent être placés à l’origine de tous les circuits à l’exception de ceux alimentés par un transformateur de séparation. La protection des circuits extérieurs alimentant des installations non fixées au bâtiment doit être distincte de celles des circuits intérieurs. La protection par DDR 30 mA peut être :

    - soit divisionnaire pour un groupe de circuits

    - soit individuelle pour un circuit spécialisé ou non

     

 

Surface des locaux d'habitation

Nombre, type et courant assigné minimal des interrupteurs différentiels 30 mA

Surface < ou = 35 m2

1 x 25A type AC et 1x40A type A

35m2 < surface < 100 m2

2 x 40A type AC et 1 x 40A type A

Surface >100 m2

3 x 40A type AC et 1 x 40A type A

  

■ Afin d’équilibrer la charge, les circuits sont judicieusement répartis en aval des DDR.

 Pour préserver l’utilisation d’au moins un circuit dans une même pièce, il est recommandé de protéger les circuits des prises de courant et d’éclairage par des DDR différents.

 ■ Dans le cas du chauffage électrique avec fil pilote, l’ensemble des circuits de chauffage, y compris le fil pilote, est placé en aval d’un même DDR.

■ En cas d’utilisation de disjoncteurs différentiels, leur type et leur nombre sont au minimum ceux indiqués ci- dessus, leur calibre étant adapté au(x) circuit(s) à protéger.

 ■ En fonction des applications, on pourra tenir compte de la continuité d’utilisation souhaitée. En particulier, les appareils mêlant eau et électricité peuvent être source de déclenchements.

            Il est donc souhaitable de les protéger par des DDR 30 mA spécifiques. Exemple : lave-linge, lave vaisselle, sèche-linge etc…

 ■ La coupure d’alimentation résultant du fonctionnement d’un dispositif 30 mA peut perturber le fonctionnement de certains appareils comme le congélateur (voir § 5.1) ou les équipements informatiques.

            Des dispositions particulières peuvent alors être prises comme l’alimentation par une prise de courant sur un circuit protégé par un DDR 30 mA dédié, de préférence à immunité renforcée (type HI)

   

Les différentiels de type A :

 

           En fonction de la technologie utilisée, certains matériels sont susceptibles en cas de défaut de générer des courants à composante continue.

             Les différentiels de type A sont conçus pour détecter des types de courants de défaut, que ne détectent pas les différentiels de type AC.

 

■ Lorsque l’alimentation du congélateur est définie, il convient de prévoir un circuit spécialisé protégé par DDR 30 mA spécifique à ce circuit, de préférence à immunité renforcée (type HI), afin de pallier les conséquences sanitaires sur les aliments consécutives à des coupures indésirables.

 

Le type HI (haute immunité) :

           Les produits à “immunité renforcée“ réduisent les cas de déclenchements intempestifs lorsqu’ils protègent les équipements générant des perturbations (micro-informatique,congélateur).

 

  1. Locaux contenant une baignoire ou une douche

    ■ La norme définit quatre volumes 0, 1, 2 et 3 qui englobent et entourent la baignoire et le bac à douche. Cette disposition s’accompagne de mesure de restriction sur les caractéristiques des appareils installés (classe II, TBTS, …) et sur les dispositifs de protection associés.

     ■ Volume 0 : aucun appareillage.

     ■ Volume 1 : seuls sont autorisés des interrupteurs de circuit TBTS avec une tension nominale de 12 V~ ou 30 V= maxi, dont la source est placée en dehors des volumes 0, 1, et 2.

     ■ Volume 2 :

    - un socle de prise de courant alimenté par un transformateur de séparation pour rasoir d’une puissance comprise entre 20 et 50 VA.

    - interrupteurs dont les caractéristiques correspondent aux conditions du volume 1

     ■ Volume 3 : sont autorisés les socles de prise de courant, interrupteurs et autres appareillages à condition d’être :

    - soit protégés par un DDR au plus égal à 30 mA

    - soit alimentés individuellement par un transformateur de séparation .

    - soit alimentés en TBTS .

 volumes

             ■ Une liaison équipotentielle supplémentaire doit relier tous les éléments conducteurs et toutes les masses des      volumes 1, 2 et 3.

 

  1. Protection contre les surtensions d’origine atmosphérique

     ■ Les parafoudres limitent le niveau des surtensions d’origine atmosphérique provenant du réseau de distribution à un niveau compatible avec la tenue aux chocs des matériels de l’installation et des matériels alimentés par cette installation. Par contre, ils ne protègent pas contre les coups de foudre directs sur les bâtiments.

     

  2. Panneau de contrôle, tableaux de répartition

    ■ Le panneau de contrôle et les tableaux de répartition et de communication doivent être placés dans des emplacements facilement accessibles et ne nuisant pas aux conditions de fonctionnement de l’appareillage.

    Ces locaux ou emplacement ne doivent être ni humides ni poussiéreux.

     ■ L’organe de manœuvre du dispositif de coupure d’urgence, généralement le disjoncteur de branchement doit être situé à une hauteur comprise entre 1 m et 1,80 m au-dessus du sol fini. Cette hauteur est limitée à 1,30 m dans les locaux pour handicapés ou personnes âgées.

     Les appareils de protection et de sectionnement des circuits divisionnaires et terminaux doivent être posés sur un tableau de répartition principal et si nécessaire sur un ou plusieurs tableaux divisionnaires supplémentaires répartis dans le logement.

    Une réserve minimal de 20 % doit être respectée pour chacun des tableaux.

     ■ Le tableau de répartition principal doit être placé dans la Gaine Technique Logement. Il peut être séparé ou juxtaposé avec le panneau de contrôle.

     ■ L’installation des tableaux de répartition divisionnaire dans les salles d’eau est déconseillée. Elle est interdite dans les volumes 0, 1, 2, et 3.

    Ils ne doivent pas être placés dans des placards ou penderies où les objets entreposés peuvent rendre leur accès difficile.

     

  3. La Gaine Technique Logement

     

    ■ La GTL regroupe en un seul emplacement toutes les arrivées courants forts et courants faibles. Elle doit permettre des extensions de l’installation électrique aussi aisées que possible et faciliter les interventions en toute sécurité.

     ■ En rénovation, la GTL n’est exigée que dans le cas d’une rénovation totale avec redistribution des cloisons.

     ■ La GTL est située :

    - soit à l’intérieur du logement, de préférence à proximité d’une entrée principale ou de service.

    - soit dans un garage ou local annexe

    Si la GTL comporte le dispositif de coupure d’urgence, elle doit être directement accessible à partir de l’intérieur du logement.

     ■ La GTL doit contenir :

    - le panneau de contrôle s’il est situé à l’intérieur du logement. Si le câble de branchement est placé dans un compartiment de goulotte, ce compartiment doit posséder un couvercle indépendant

    - le tableau de répartition principal

    - le tableau de communication

    - 2 socles de prise de courant 2P +T 16 A protégé par un circuit dédié pour alimenter des appareils de communication placés dans la GTL

    - les autres applications de communication (TV, satellite, etc..) lorsqu’elles sont prévues et éventuellement,

    - un équipement domotique

    - une protection anti-intrusion

 

 

  1. Le coffret de communication

     ■ Il est destiné à recevoir le point de livraison de l’opérateur (matérialisé par la prise DTI). Il doit comporter au moins une barrette de terre et au moins un rail DIN.

     ■ Les socles de prise de communication de type “RJ45” devront être conformes à la norme NF EN 60 603-7-3. Pour tenir compte du parc de matériel téléphonique existant, les prises téléphone en ”T” (conjoncteur) peuvent être encore utilisées.

     ■ Ils sont desservis individuellement depuis le tableau de communication situé dans la Gaine Technique Logement (câblage en étoile).

     ■ La répartition des socles de communication est au moins :

    - 1 socle par pièce principale (ex : chambres, salon, séjour)

    - 1 socle dans la cuisine.

     ■ Lorsque les socles de communication sont des conjoncteurs en “T” et n’assurent pas la distribution de la télévision, l’équipement minimum consiste en la pose d’au moins :

    - 1 prise TV dans les logements de surface jusqu’à 35 m2

    - 2 prises TV dans les logements de surface jusqu’à 100 m2

    - 3 prises TV dans les logements de surface supérieure à 100 m2.

     ■ Chacune de ces prises doit être desservie par une canalisation issue de la GTL. Le câblage de ces prises TV peut se faire dans le tableau de communication.

     ■ Le coffret de communication peut être de deux types :

    - Coffret sans brassage :

    Le coffret dessert individuellement les prises téléphoniques en " T " ou prises RJ 45 à usage uniquement téléphonique de l’habitat. Les prises télévision au format coaxial peuvent également y être ramenées si l’équipement de distribution du signal est installé en son sein.

     - Coffret avec brassage :

    Le coffret centralise les arrivées téléphoniques et télévision pour diffuser les signaux Internet, téléphonique et TV sur les différentes prises de communication format RJ45 de l’habitat. Il permet une exploitation optimale des prises de communication format RJ45.

    En fonction des composants installés, un système de communication peut rendre différents niveaux de services appelés Grade.

     • En Grade 1, les signaux téléphoniques et informatiques (jusqu’à 100Mbits/s) seront acheminés depuis le coffret de communication sur les prises de communication format RJ45 du logement. Le signal TV transite par câble coaxial.

    • En Grade 3, les signaux téléphoniques, informatiques et télévision terrestre sont acheminés depuis le coffret de communication sur les prises de communication format RJ45 de l’habitat.

     

  2. Les boîtes de connexion et DCL (Dispositif de Connexion pour Luminaire)

     ■ Toute canalisation encastrée doit être terminée par une boîte de connexion.

     ■ Un socle DCL, permettant le raccordement du luminaire est obligatoire lorsque la canalisation aboutie à une boîte de connexion pour luminaire.

     ■ Dans le cas d’une alimentation fixe posée en saillie, le raccordement du matériel peut s’effectuer sans boîte de connexion à condition que le matériel soit pourvu par construction de bornes de raccordement ou si la canalisation est par construction pourvue de connecteurs spécifiques de raccordement.

     ■ Chaque point d’éclairage équipé d’un DCL doit être pourvu soit d’une douille DCL munie d’un fiche récupérable 2P+T pour la connexion ultérieure d’un luminaire, soit d’un luminaire équipé d’une fiche DCL.

 

 

           Après ce petit descriptif sur les normes, place à notre chantier:

 

 Ingrédients:

 

  •  
    • 600 m de gaine ICTA en 20mm

    • 500 m de gaine ICTA en 16mm

    • 1800 m de câble en 1,5mm2 (divers couleur)

    • 1900 m de câble en 2,5mm2 (divers couleur)

    • 36 disjoncteurs ( en 32, 20, 16 et 10A)

    • 8 interrupteurs différentiels 30mA (7 de type AC et 1 de type A)

    • 2 disjoncteurs différentiels 30 mA type HPI

    • 1 delesteur de puissance

    • 1 parafoudre

    • 1 GTL

    • 2 tableaux électriques de 39 modules

    • 1 coffret de communication grade 3

    • 500 m de câble réseau catégorie 6

    • 20 interrupteurs simples

    • 10 interrupteurs doubles

    • 19 prises de courants simples

    • 13 prises de courants doubles

    • 16 prises de courants triples

    • 10 sortie de câbles de 16A

    • 1 sortie de câbles de 32A

    • 10 mécanismes de volet roulant

    • 10 prises RZO double

    • 64 boites à encastrer simples

    • 23 boites à encastrer doubles

    • 16 boites à encastrer triples

    • 17 DCL en plafond

    • 6 DCL en applique

    • 2 boites de dérivation en saillie.

    • 4 boites de dérivation à encastrer.

    • beaucoup, mais alors beaucoup d'huile de coude.... pour pré-filer les gaines....

 

 

            Précédemment, nous avons déjà installé les points lumineux extérieurs, avec boites de dérivation...

 

          07-2011-09-25 12.45.07

 

          07-2011-09-25 12.45.53

 

          Et là, nous tirons des gaines, des gaines et encore des gaines... Nous pré-filons tous ces gaines avec du câbles électrique de divers couleurs (il faut respecter les normes... et c'est plus facile pour se repérer), nous les marquons !!!! avec du …... sparadrap ! Hé oui, ça fonctionne mieux, et c'est beaucoup moins chère.....

 

          2011-12-04 16.40.33 

 

vu la quantité, ça commence à ressembler à une jungle....

 

 

Voilà quelques photos...du chantier.

 

          2011-12-11 15.29.00

 

          2012-01-07 12.40.27

 

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 00:00

            Notre plafond repose sur une ossature métallique fixée aux fermes en bois sur laquelle sont vissées les plaques de Fermacell.

            La pose de cette ossature métallique se fait perpendiculairement. L'espace entre la sous structure et le plafond permet l'intégration des gaines électriques.

 

           Avant de procéder au montage, il faut déterminer la hauteur souhaitée, en tenant compte de l'épaisseur totale du système (plaque de fermacell + profilé + suspente).

 

           2011-11-19 13.03.42

 

           Pour nous, le système de suspente est composé de piton de réhabilitation mâle, de tige filetée de diamètre 6mm et de suspente pivot, ceci pour avoir le moins de trou dans le freine vapeur, à reboucher ensuite avec du scotch .

 

           2011-11-19 12.57.43

 

         2011-11-19 12.58.26 

 

          2011-11-19 12.59.33

           Donc, une fois la hauteur déterminée, il ne reste qu'à couper les tiges filetées à la bonne dimension...

 

          2011-11-20 14.37.30

 

          2011-11-20 14.38.14

 

          Voilà le résultat

 

          2011-11-26 08.31.00

 

          2011-11-26 08.31.17

 

            Fixer les pitons le long du fil tendu, après avoir mesuré et tracé l'entre-axe des fourrures ( 50cm). La distance entre la dernière suspente et le mur perpendiculaire aux fourrures doit être inférieur à 10 cm.

 

          2011-11-26 08.31.28

 

           2011-11-20 10.40.47

 

 

           Une fois les pitons fixés, insérer les tiges filetées et les suspentes pivots, en les mettant tous au même niveau.

 

           2011-11-26 19.17.56

 

           C'est avec un niveau laser que nous les réglons. Il suffit de tourner le cavalier jusqu'à ce que la ligne rouge du laser apparaisse au niveau défini. 

 

           2011-11-26 16.37.23Photo

 

           Quand une ligne est réglée, la fourrure est clipsée sur les suspentes. Ayant un grande longueur( 23,50 m), nous allongeons les fourrures avec une éclisse de raccord. C'est sur la fourrure que les plaques de Fermacell seront vissées

 

           2011-11-27 15.35.02

 

           Résultat final, après un week end et demi......

 

           2011-11-27 15.35.57

 

          Ma tendre et chère s'est bléssée avec une éclisse de raccord, nous avons passé le reste du week end et une partie de lundi aux urgences....

 

          2011-12-11-09.38.11.jpg

 

Diagnostique tendon sectionné..... opération..... et quatre semaines immobilisés.

 

          Après l'opération, avec le sourrire en plus............................ à son age, encore vouloir succer son pouce.

 

          2011-11-28-13.08.08.jpg

 

La pose des suspentes et des fourrures continu, il faut bien avancer....

 

Malgré son handicape, la maîtresse ( ;))))) (de maison) veut aider...

 

 

 

          Voici le résultat du plafond, en fin de week-end du 3 et 4 décembre...

 

          2011-12-03-18.22.02.jpg

 

           2011-12-04-13.11.24.jpg

 

           2011-12-04-13.11.39.jpg

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 00:00

          Samedi, nettoyage du chantier (poussière de la ouate de cellulose) près de trois heures, la prochaine fois on installera la cardeuse souffleuse dehors !! et préparation de la pose des suspentes et fourrures pour le plafond ( nous avons fait fonctionner le cerveau).

          Nous faisons l'enduit d'un coté du mur à inertie.... avec scellement d'une boite d'encastrement pour une prise de courant 16 A du futur poêle à granulé.

 

          Avant 

          2011-10-23 14.31.46

 

           Aprés

          2011-11-20 10.39.27

 

         2011-11-20 10.39.48

 

          2011-11-20-10.39.38.jpg

 

 

           Dimanche, nous commençons à tracer les cloisons au sol, en vu du passage de l'électricité...

 

            … et commencé la pose des suspentes ( non pas de parapente !-)) , mais suspentes et fourrures pour recevoir le plafond...(Voir prochain article)

 

            2011-11-19-13.03.42.jpg

 

 

 

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 00:00

          Voilà, avec ce week-end prolongé du 11 Novembre, nous avons avancé la partie isolation. Nous n'avons pas beaucoup de photo..... mais je vous assure que nous avons travaillé..... Samedi, jusqu'à plus de 21h et dimanche nous avons arrêté vers 20h, et nous n'avons pas fini !!!!

 

          Vendredi, nous préparons pour le lendemain, car nous allons chercher, samedi, la cardeuse-souffleuse, pour amener la ouate de cellulose dans les combles. Nous préparons l'éclairage, rangeons un peu pour faire de la place pour la machine...

          Nous finissons aussi, le freine-vapeur sur les murs...

 

 

          Voilà, la cardeuse-souffleuse...

 

          2011-11-12-09.32.51.jpg

 

          2011-11-13-15.17.15.jpga

 

          Mon déguisement...c'est moi qui fait un sauna dans les combles ( il fait plus de 20°c aujourd'hui)...

 

            2011-11-12-09.41.12.jpg

 

           2011-11-12-12.59.56.jpg

 

           De la poussière !!!! ou ça ?

 

          2011-11-13 17.16.34      

 

           Les ballots d'isolant diminues...peu !

 

           2011-11-13-15.16.59.jpg

 

 

 

 

            C'est la première fois que nous utilisons ce produit et la machine, la densité ne doit pas être la bonne!!! ou j'ai dû en mettre plus que prévu, résultat, il manque près de 50 ballots de 12,5Kg !!! Soit un tiers de plus que ce qui a été commandé. Il faudra donc recommencer, la location, le déguisement, la poussière...

 

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14 novembre 2011 1 14 /11 /novembre /2011 18:51

          A la saint Hubert, les oies sauvages fuient l’hiver.

 

          2011-11-06 16.45.50

 

           Le vol des grues forme un angle très ouvert; les grues crient, la plupart du temps, environ toutes les 10 à 15 secondes, le chant "GROU GROU" permet de les repérer haut dans le ciel jusqu'à quatre kms. Ce sont des oiseaux puissant qui migrent sur environ 2500km, ils passent l'hiver en Afrique du Nord ou au sud de l'Espagne.

          La grue cendrée mesure de 100 à 120 cm, pour une envergure de 180 à 240 cm et un poids de 4 à 6 kg.

           Le cou et les pattes sont longs et tendus : cette silhouette de grand oiseau est facile à distinguer.

           La Grue cendrée est Protégée en France depuis 1967.

           Les grues ont l'habitude d'utiliser les ascendances thermiques pour s'élever en planant et migrer en se déplaçant d'un thermique à l'autre en évitant le vol battu. Ainsi, elles planent et économisent leur énergie. Le vol battu est utilisé en cas de mauvais temps, de vol de nuit ou au dessus de la mer.

 

 

  1. Migration d'automne


           Après l'élevage des jeunes, en août et septembre, des milliers de Grues se rassemblent sur l'île suédoise d'Öland. De là, elles gagnent la côte sud de la Mer Baltique l'île de Rügen et ses environs accueillent en octobre au moins 30.000 oiseaux, tandis que 15.000 autres stationnent plus à l'intérieur de l'Allemagne.
Un premier départ s'effectue vers la fin du mois d'octobre et précède d'une à trois semaines la vague principale des migrateurs. 


           Fuyant l'arrivée du froid qui les empêche d'accéder à leur nourriture, plus de la moitié des Grues d'Europe occidentale passent en 2 ou 3 jours.

           Les autres suivent en décembre. La vitesse de vol varie de 40 à 70 km/h en fonction des vents et les déplacements s'effectuent de jour comme de nuit à des altitudes comprises entre 200 et 1.000 m (exceptionnellement jusqu'à plus de 4.000 m).

 

              Le couloir de migration s'étend de la Lorraine, Champagne-Ardenne ( principalement le lac du Der) en passant par le Cher, Indre, la Creuse et le Limousin, puis l'Aquitaine.

 

             Tous les ans nous repérons des vols de grues et c'est parce que nous somme sur ce couloir de migration, elle vont chercher un climat plus doux pour passer l'hiver donc leur passage coïncide avec l'arrivée du froid. Elles font un « »stop an go » au lac d'Arjuzanx ou le Muret Ychoux( Lande 40) et le Langonais ce trouve sur le passage entre les Landes et le Limousin – Auvergne...



             Dès février, la migration reprend en sens inverse. Pressées par l’instinct de reproduction, les Grues repartent rapidement vers le nord. Le retour est plus rapide mais tout aussi spectaculaire.

           L’ultime étape avant la dispersion sur les sites de nidification est le lac d’Hornborga en Suède.

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